La Côte d’Ivoire jouera son dernier match dans la poule D ce lundi 1er juillet 2019. Mais avant cette affiche, le moins qu’on puisse dire, c’est que les Eléphants ont le dos au mur.
Côte d’Ivoire vs Namibie, c’est le choc de la dernière journée dans la poule D prévu pour ce lundi 1er juillet 2019. Un gros choc, car les poulains d’Ibrahim Kamara se sont fait peur lors de leur deuxième sortie face au Maroc le vendredi 28 juin dernier. Annoncé comme le véritable ‘’match test’’ des Eléphants dans cette poule, Jonathan Kodjia et ses coéquipiers ont brillé par leur absence face au Maroc d’Hervé Renard.
Jean Michael Seri, Max Gradel, Maxwell Cornet, Jonathan Kodjia (Jimy Danger), Serge Aurier et autre Sylvain Gbohouo se sont incliné sur le score de 1-0 face aux hommes d’Hervé Renard. Kamara Ibrahim n’a pu trouver les ressources nécessaires dans cette rencontre pour tenir tête à son ‘’patron’’ de 2015. ‘’Le Renard’’ a une fois de plus pris le dessus sur les Eléphants en confrontation officielle. La rencontre de ce lundi sonne comme la dernière chance pour Wonlo Coulibaly et Ismael Traoré de demeurer dans cette compétition continentale.
Vainqueur de l’Afrique du Sud, les Eléphants pointent toujours à la deuxième place de la poule D, avec 3 points derrière le Maroc avec 6 points. Une place qu’ils devront défendre becs et ongles face à la Namibie, car dans l’autre rencontre, le Maroc déjà qualifié avec ses deux victoires en deux sorties pourrait lever le pied face à l’Afrique du Sud, question de faire tourner son effectif.
Kamara Ibrahim est donc dans l’obligation de trouver le 11 idéal et le système de jeu adéquat pour venir à bout de la Namibie, afin de s’assurer une place en huitième de finale sans avoir recours aux calculs de meilleur troisième.
Même si les Eléphants sont placés parmi les outsider de cette 32ème Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Egypte 2019, les Ivoiriens n’imaginent pas leur équipe sortir au 1er tour de la CAN 2019, la première à 24 équipes. Kamara Ibrahim et ses poulains ont donc le dos au mur pour une victoire obligatoire.
Laurenzo Yapi