mardi 23 avril 2024
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Senior Reporter @NewsPlus

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Le président du Renouveau démocratique, Lamoussa Djinko ne va pas du dos de la cuillère dans ses prises de parole. Lors d'une rencontre avec les hommes de médias, l'ancien fonctionnaire international, a exhorté le chef de l'État à libérer tous les prisonniers politique.

Pour lui, ce geste aidera tous les ivoiriens à refermer définitivement la page de la crise postélectorale de 2011. Soucieux de l'unité et de la réconciliation nationale vraie, Lamoussa Djinko veut que le président Alassane Ouattara puisse donner la chance à tous les ivoiriens de se reparler à nouveau. "Je salue la libération de Soul to Soul, du général Dogbo Blé et plusieurs autres prisonniers politique au nombre de cinquante et un (51). Mais cela ne suffit pas.

Il faut aller un peu loin. Le président Ouattara doit prendre l'initiative de libérer tous les prisonniers politique. Cela nous permettra de laisser derrière nous la crise postélectorale de 2011. De tous les manières, les principaux acteurs de cette crise postélectorale ont été blanchi par la cour pénale internationale. Il s'agit de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé.", a-t-il déclaré.

Le président Lamoussa Djinko a évoqué le cas des victimes de la crise postélectorale. A l'en croire il faut dédommager les milliers de victimes de cette crise de 2011. " Je demande au président Alassane Ouattara de dédommager toutes les victimes de tous bords. Cela est possible. Tout ceci concoure à la consolidation de l'unité et la réconciliation nationale entre les fils et filles de nation.", a-t-il martelé.

Notons que l'issue de la crise postélectorale a causé plus de 3000 morts. L'ex président ivoirien, Laurent Gbagbo et son ministre de la jeunesse se sont retrouvés en prison à la cour pénale internationale. Lors de plusieurs audiences, les 80 témoins n'ont présenté aucune preuve solide. Cette décision qui a valu la libération de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé.

Parfait Zio

 

Après une bonne séance d'entrainement ce lundi 25 mars 2024 au stade Bolaert-Delelis de Lens, Les Éléphants se disent prêts pour livrer bataille face à l'équipe de l'Uruguay ce soir à 17H GMT. Le coach de la sélection nationale a tenu un discours rassurant face à la presse. 

Il s’est exprimé notamment sur la non venue du gardien de l’Asec Mimosas, Charles Folly et a laissé un message aux ivoiriens avant le match contre l’Uruguay, prévu ce mardi 26 mars 2024.

« Charles était en compétition, en ligue des champions avec son club l’Asec Mimosas lorsqu’on a sorti la liste. Il n’a donc pas pu être présent pour effectuer les démarches pour son visa. Quand il est arrivé on a essayé de lancer la procédure. Et Il devait nous retrouver finalement le samedi matin. Mais on a jugé préférable de le laisser à la disposition de son club, au lieu de venir ici pour trois jours.  Il a été remplacé par le jeune gardien Issa Fofana qui était avec les U23 et qui avait été déjà appelé il y a deux ans. Comme on l’a dit, l’équipe nationale est ouverte à tout le monde, aux jeunes qui sont dans l’antichambre avec les U23. »

Il a profité de l'occasion pour exprimer sa gratitude aux supporters ivoiriens venu nombreux les soutenir lors du match Côte d'Ivoire-Bénin qui s'est soldé par un score de deux buts partout « On va se racheter et montrer que contre le Benin ça a marché à l’émotion : il y avait la présentation du trophée et l’annonce de la fin de la carrière internationale de Max Gradel. C’était donc un match avec beaucoup d’émotion. On n’a pas joué comme on aurait voulu le faire et comme on aurait dû aussi, parce que nous sommes des Champions d’Afrique.

Il faut dire que c’est une bonne opportunité, face à une bonne équipe sud-américaine. Je pense d’ailleurs que c’est la meilleure équipe sud-américaine du moment. Si on arrive à faire un résultat positif face à cette équipe de l’Uruguay ça sera un bon signe. Maintenant l’Uruguay est une équipe très coriace et difficile à jouer. Si on veut exister dans ce genre de match il faudra élever le niveau sur tous les plans. », a-t-il promis.

Parfait Zio

 

 

Le peuple Sénégalais a porté son choix sur l'homme de main de Ousmane Sonko. À 44 ans, Diomaye Faye remplace l'incontestable Macky Sall. Il devient ainsi l’homme fort du Sénégal

Le candidat de l'opposition vient de marquer l'histoire de la politique Sénégalaise. Au lendemain d'une élection présidentielle très attendue, le candidat soutenu par le farouche opposant à Macky Sall est élu président de la république.

Le nouveau président élu a reçu dans la matinée de ce lundi 25 mars 2024 les félicitations de plusieurs candidats en courses. Il s'agit notamment de Papa Djibril Fall président du parti les Serviteurs, Dethié Fall, président du PRP.

Le candidat de la majorité présidentielle s'est exprimé ainsi " Le peuple sénégalais est sorti massivement pour voter ce 24 mars 2024, preuve de la vitalité démocratique de notre République. Je m'en réjouis. Les tendances montrent que Diomaye Faye a gagné au premier tour. Il devient le cinquième président du Sénégal. Je le félicite chaleureusement ainsi que Sonko Ousmane. qu'Allah les guide pour le bien être des Sénégalais.", s'est-il exprimé.

Il faudra patienter encore un peu pour avoir les résultats officiels. Mais en attendant, le Sénégal a vécu une journée de vote quasi exemplaire dans tout le pays. Les Sénégalais ont voté dans le calme et sans incident majeur. Ils étaient heureux de pouvoir exercer leur droit de vote, après ces dernières semaines d’incertitude.

Ousmane Sonko, le principal opposant du pays, et Bassirou Diomaye Faye, son bras droit et candidat désigné pour le remplacer dans la course à la présidentielle prévue le 24 mars, ont quitté ensemble, jeudi 14 mars dans la soirée, la prison dakaroise du Cap Manuel. Les deux hommes étaient incarcérés pour plusieurs chefs d’inculpation, dont « appel à l’insurrection », respectivement depuis sept et onze mois.

Générosa Kouadio

Les populations du quartier Abattoir de Port Bouet dorment les yeux ouverts. Les habitants dudit quartier ont animé un point de presse le jeudi 21 mars 2024 pour demander la clémence des autorités ivoiriennes suite aux annonces d’une opération de déguerpissement d’envergure sur 200 hectares. Une opération qui doit s’étendre de la place Akwaba au cimetière municipale de Port-Bouët.

A en croire Koné Mamadou, porte-parole des riverains du quartier Abattoir, ce sont plus de 200 milles personnes qui sont menacées par ce déguerpissement imminent. 

« Nous plaidons pour un réaménagement du quartier en lieu et place d’une démolition notre quartier qui abrite 100 mille foyers n’est nullement une zone à risque. La preuve, il n’y a jamais eu d’éboulement de terrain en saison pluvieuse. Nous demandons au Chef de l’Etat, M. Alassane Ouattara, que nous savons plein d’humanisme de nous aider à préserver nos lieux d’habitation. Nous demandons également la clémence du Premier Ministre, Beugré Mambé, du Ministre Gourverneur du district d’Abidjan, Cissé Bacongo et du maire de Port-Bouët, Dr Emmou Sylvestre. Qu’ils nous aident à aménager notre quartier et non à le détruit », a plaidé le porte-parole des populations du quartier Abattoir.

Avant d’ajouter r : « Notre action n’est nullement politique. Nous appelons juste à l’aide car nous ne voulons plus revivre le traumatisme encore frais du déguerpissement de 2018 », a soutenu Koné Mamadou.

 Il est important de noter que le quartier Abattoir existe depuis 1954.

Parfait Zio

 

 

L'ex Directrice de l'Office National des Sports (ONS), Mariame Koné Yoda est décédée ce vendredi matin suite à un malaise. Débarquée de son poste de directrice de l'Office national des sports ( ONS ) à quelques mois de la CAN 2023, Mariame Koné épouse Yoda à cause de l'affaire  de la pelouse du stade Ebimpé était depuis lors éloignée des activités sportives. Elle avait été remplacé par Ousmane Gbané qui avait pris la tête de cette institution.

Mariam Koné Yoda, ex-directrice de l'office national des sports a pratiqué le handball depuis l'école primaire où elle dispute des compétitions de l'Office ivoirien des sports scolaires et universitaires ( Oissu). Détectée par Michel Baldino elle rejoint en 1976-1977 le lycée des jeunes filles de Bouaké où elle évolue dans un système de sport-étude. Après son brillant parcours scolaire, elle finit ses études universitaires sanctionnées par un diplôme de l'Institut national de la jeunesse et des sports ( INJS ).

Dans son parcours professionnel d’handballeuse, Madame Yoda a évolué à l'ASC Abinader de Bouaké puis à l'Africa Sports. Avec la sélection nationale junior, elle dispute notamment le championnat du monde junior 1983 où elle est la meilleure marqueuse ivoirienne avec 30 buts marqués. Elle est vainqueur du championnat d'Afrique des nations juniors en 1980, 1982 et 1984.

Elle évolue ensuite avec la sélection nationale féminine d’handball vainqueur du championnat d'Afrique des nations en 1987 ainsi que les jeux africains de 1987.

Professeur d'éducation physique, elle a été cheffe de service des manifestations sportives à L'ONS puis conseiller technique du ministre des sports Dagobert Banzio. Elle est ensuite nommée en 2012 directrice des sports de haut niveau au ministère des sports et loisirs par le ministre Philippe Legré. De 2017 à septembre 2023 elle a été directrice générale de l'office national des sports.

Mariam Koné Yoda laisse toute la grande famille du sport ivoirien surtout les handballeuses ivoiriennes sans voix. Repose en paix !!!

 

P.Z

 

A l'occasion de la journée mondiale de la trisomie 21, l'ONG Noema a organisé une conférence sur la maladie au centre de santé communautaire de Yopougon Ouasskara. L'activité s'est déroulée le jeudi 21 mars 2024 devant plus d'une cinquantaine de femmes venues de tous les quartiers de Ouasskara.

Sabine N'gandi, présidente de l'organisation non gouvernementale a exhorté les femmes à éviter d'écouter les préjugés sur les enfants malades. "Les préjugés font que les femmes cachent les enfants et les envoient pas à l'hôpital. Parce qu'elle a peur du regard des autres. Si vous avez des enfants atteints de cette maladie ne les rejetez pas. Encouragez-les. Un enfant c'est un don de Dieu. L'hôpital doit aussi bien accueillir ces enfants.", a-t-elle conseillé.

La présidente de l'ONG a profité pour faire des plaidoyers à l'endroit des décideurs. Pour elle, le gouvernement doit favoriser l'inclusion sociale, scolaire et professionnelle des personnes ayant la trisomie 21 ou dans une autre situation de handicap. Favoriser l'accès financier et géographique des soins. Contribuer à la croissance intellectuelle et l'équilibre émotionnelle des enfants et jeunes.

La sœur Monica, directrice de l'école le petit Baobab d'Angré a partagé son expérience avec les femmes. " Nous avons 29 enfants atteints de cette maladie dans notre école. Aujourd'hui ils sont intégrés dans toutes les classes. Cette démarche contribue à habituer les enfants normaux de se frotter aux enfants malades. Cela apprend la diversité aux enfants. Nous sommes égaux. Ce sont ces mêmes enfants qui deviendront demain des cadres de ce pays. Ils pourront défendre aisément le cas de leurs amis atteints de la trisomie 21. Il faut intégrer les enfants malades dans le système scolaire normal. C'est ça l'inclusion.", a-t-elle déclaré.

l'ONG Noema a pour objectif de promouvoir et contribuer à l'amélioration de la connaissance et l'évolution des conditions de vie des personnes ayant la trisomie 21. Contribuer au plein épanouissement scolaire, social et psychologique.

Le Conseil Supérieur des imams (COSIM) a décidé de voler au secours des victimes du déguerpissement.

Dans ce mois de ramadan, le COSIM a offert 4 tonnes de riz, de sucre et une somme de deux millions de Francs Cfa aux déguerpis. Le don s'est fait dans la résidence de Paulin Claude Danho le député-maire de la commune d'Attécoubé le lundi 18 mars 2024.

Le Cheick Aiman Ousmane Diakité, président du Cosim a tenu à prononcer des paroles de réconfort et d'édification aux populations victimes du déguerpissement. Au nom de la population, le premier magistrat de la commune a exprimé toute sa reconnaissance aux bienfaiteurs.

Pour rappel, quelques heures après le déguerpissement des populations dans la commune d'Attecoubé, le maire de ladite municipalité, a décidé lors d'un conseil municipal extraordinaire tenu le lundi 26 février 2024 que les personnes touchées par l'opération reçoivent un fonds d'urgence de soutien aux indigents à hauteur de trente millions. La mise en œuvre d'un plan de traitement et de sécurisation des sites libérés.

Le conseil municipal a autorisé la municipalité à rechercher en urgence à faire un plaidoyer auprès de la tutelle pour l'obtention d'une subvention d'équilibre budgétaire pour faire face aux pertes de recettes. Ils ont également décidé de mettre en place quatre comités de restructuration sociale et de suivi humanitaire animés par les adjoints au maire.

C'est clair que cette action mener par la plus haute instance des musulmans de Côte d'Ivoire pourra donner un bouffé d'oxygène à la municipalité ainsi qu'à la population d'Attécoubé.

  

Parfait ZIO

Le revenu décent des producteurs de cacao en Côte d’Ivoire était au cœur d’une session d’information et de partage d’expériences, organisée par IDH et le Conseil du Café-Cacao (CCC), le jeudi 14 mars 2024.  

 

Cet atelier s’inscrit dans le cadre du programme « Cocoaperation », une initiative conjointe de l’organisation internationale IDH et du CCC, visant à améliorer le revenu des producteurs de cacao et leur assurer un avenir plus durable et équitable. Le programme s'appuie sur une synergie multipartite, réunissant divers acteurs de la chaîne de valeur cacao (institutions financières, coopératives, compagnies d’exportateurs ou de négociants de cacao), pour une réponse collective aux problèmes liés aux pratiques agricoles durables, au commerce équitable et au bien-être communautaire.  

 

Les partenaires du programme se sont ainsi réunis à Abidjan pour un partage d’expériences sur les stratégies adéquates à adopter pour améliorer les revenus des producteurs de cacao, l'accès au financement et les pratiques agricoles durables. Ils ont notamment abordé les questions liées aux critères d’éligibilité pour accéder à un prêt bancaire, aux taux d’intérêts fixés, aux types de crédit offerts aux producteurs et à la professionnalisation des sociétés coopératives et leurs producteurs dans leurs démarches d’accès au financement.  

 

Au terme de cet atelier, les parties prenantes ont encouragé la tenue de ces rencontres afin d’approfondir d’autres thématiques liées au bien-être social et économique des producteurs de cacao et de leurs communautés, notamment la question de la traçabilité dans la filière déjà engagée par le Conseil du Café-Cacao. Co-organisateur de cette session, le Conseil a invité les partenaires de « Cocoaperation » à davantage de collaboration et a réitéré sa disponibilité pour la mutualisation des efforts afin d’atteindre les objectifs du programme.  

 

Quant à l’organisation IDH, partenaire du CCC, elle s'est engagée à poursuivre ses efforts à travers le programme « Cocoaperation » afin de relever les défis persistants liés à l’amélioration du revenu des producteurs de cacao en Côte d'Ivoire.

Echo avec sercom

A l’occasion du mois de Ramadan, le ministre du Patrimoine, du Portefeuille de l'État et des Entreprises Publiques par ailleurs Député-maire de la commune de Touba, Moussa Sanogo, a apporté le 16 mars 2024, son soutien aux populations de sa localité.

Cette cérémonie de remise de don a eu lieu sur l'esplanade de la grande mosquée de Touba, chef-lieu de la région du Bafing, en présence des forces vives de la région et de l'ensemble des membres du corps préfectoral.  Ce don composé de 1215 sacs de riz et 670 sacs de sucre, soit au total 28 tonnes de riz et 18 tonnes de sucre, est destiné à toutes les couches sociales de la région du Bafing.

 Ce geste du ministre Moussa Sanogo, vise à soutenir les populations durant ce mois de jeûne musulman mais aussi permettre à la région du Bafing de tirer profit de la politique dénommée «la Côte d'Ivoire solidaire » portée par le chef de l'État, Alassane Ouattara.

 « Sous l’impulsion du président de la République, d'importants moyens ont été consentis dans le secteur de l'éducation, de la santé, de l'eau potable, de la voirie et des infrastructures routières etc », a indiqué Dosso Adama, conseiller technique représentant le ministre.

Le ramadan étant une période de grande adoration et de générosité entre les communautés, Dosso Adama a sollicité les prières et bénédictions des populations tout au long de cette période pour le Chef de l'État Alassane Ouattara "afin qu'il continue d'avoir les ressources nécessaires pour poursuivre son œuvre de développement et de paix dans le pays. Mais aussi pour la promotion, la réussite et l'entente des filles et fils de la région du Bafing, gage de son développement". 

 Prenant la parole, Yao Kouakou Dinard, préfet de région, préfet du département de Touba a salué l'action du ministre qui vient soutenir les populations, tout en indiquant qu'il obéit ainsi à une instruction du président de la République qui appelle les cadres à être solidaires vis-à-vis des populations. 

 Quant aux populations, par la voix des patriarches, El Hadj Diomandé Méhi et El Hadj Fadiga Moustapha, elles ont exprimé leur reconnaissance au ministre Moussa Sanogo pour sa constante sollicitude non sans formuler des prières pour le président de la République. 

 « Notre profonde gratitude au ministre Moussa Sanogo pour tout ce qu'il fait pour la population. Merci également au Président Alassane Ouattara qui a placé sa confiance au ministre et surtout pour toutes ses actions visant l'épanouissement des populations. Que Dieu continue de l'assister dans ses tâches », martèlent –Ils

Générosa Kouadio

 

 

 

Lamoussa Djinko, président du Renouveau démocratique a fait le diagnostic du système éducatif ivoirien ce vendredi 15 mars 2024 lors d’une conférence de presse tenue au siège dudit parti à Cocody. Dans son analyse, le président Lamoussa a résolu que l’école ivoirienne est gravement malade. Pour lui, il y a de cela quatre décennies que l’école ivoirienne est restée malade.

A l’en croire les causes sont diverses. « En Côte d’Ivoire, le nombre pléthorique d’élèves en classe ne peut pas favoriser la réussite. Les étudiants n’ont pas de logement. De nombreux étudiants dorment à même le sol dans les amphis. » a-t-il martelé.

 Poursuivant, il a fait savoir : ‘’Un pays qui ne met pas l’accent sur son système éducatif ne peut pas se développer. Concernant la formation des étudiants, nous n’avons que deux grandes universités en Côte d’Ivoire. Les autres ne sont que des départements de médecins spécialistes. Celui qui veut aller à la spécialisation en médecine devra lui-même le faire à ses propres frais. C’est ce qui explique le nombre réduit de spécialistes. Il faut simplement repenser le système éducatif ivoirien »

Après une analyse profonde, le président Lamoussa Djinko compte procéder à la suppression de l’entrée en sixième, le Bepc et le baccalauréat. « Une fois au pouvoir d’Etat, nous allons construire les infrastructures adéquates pour les études. Relever le niveau d’étude. Changer le système éducatif profondément. Nous allons augmenter le salaire des enseignants par rapport au coût de la vie. Construire des campus universitaires. Créer des écoles maternelles. Lutter contre la fraude à l’école. Supprimer le concours de l’école nationale de l’administration. Nous allons donner un statut spécial aux journalistes. » a-t-il promis.

Parfait Zio

News Letter

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